Selon ce document, plusieurs aires de jeux communales, espaces verts, et même le cimetière de l’ITIG (Institut Technique Industriel de Goma) seraient actuellement la cible de tentatives de spoliation orchestrées par des intérêts privés sans scrupules. Le mémo met en lumière l’urgence d’intervenir pour préserver ces biens communs, qui sont essentiels à la vie communautaire et à la préservation de l’environnement urbain.
En réponse à ces révélations, Madame Acacia Bandubola Mbongo, qui œuvre pour la mise en œuvre de la vision du Président de la République Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, sous la conduite de la Première Ministre Judith Suminwa Tuluka, a réaffirmé son engagement à assainir le secteur foncier en RDC. La Ministre d’État s’est engagée à veiller à l’application rigoureuse de la loi pour mettre un terme à ces pratiques illégales et à restaurer les droits des communautés spoliées.
Le secteur foncier en RDC est depuis longtemps une source de conflits, souvent alimentés par la corruption et l’impunité. L’intervention de la DJPC pourrait marquer un tournant dans la lutte pour la transparence et l’équité dans la gestion des terres à Goma. Reste à savoir si les autorités prendront les mesures nécessaires pour répondre aux attentes des populations locales et mettre fin aux spoliations dénoncées.
David Djuma Radjabu et ses compagnons de la DJPC rappellent que la jeunesse de Goma ne restera pas les bras croisés face à cette situation. Ils appellent à une mobilisation citoyenne pour protéger les espaces publics de la ville et assurer que les futures générations puissent en bénéficier.
Avec cette nouvelle prise de position, le message est clair : il est temps d’agir pour préserver le patrimoine foncier de Goma et garantir une gestion foncière juste et équitable pour tous les Congolais.