Une certaine presse de mauvais augure insinue que le président de l’Assemblée nationale, Aubin Minaku Ndjalandjoko avait été révoqué de la magistrature. C’est faux et archifaux ! Ça s’appelle du pire mensonge. Une sorte de mauvaise foi ou de la méchanceté sans mesure des personnes mal intentionnées, ingrates ou en mal de positionnement politique, qui cherchent coûte que coûte, non seulement à salir ou à ternir l’image combien admirable de cet éminent avocat et haute personnalité de la République, mais aussi à nuire à la grande carrière de l’honorable Aubin Minaku.
D’autant plus que sur cette liste des 350 magistrats révoqués sous M’Zee Laurent-Désiré Kabila, nulle part est repris le nom de Me Aubin Minaku. Donc, il n’existe pas sur cette liste. Heureusement que l’histoire ne ment jamais, et elle ne change pas non plus.
Par devoir de mémoire, il sied, une fois pour toute, d’informer l’opinion que le président de l’Assemblée nationale, le député national Aubin Minaku Ndjalandjoko, élu d’Idiofa, a fait son entrée dans la scène politique en 1997, à l’avènement de M’Zee Laurent-Désiré Kabila. Et, puisqu’il venait à peine de faire son entrée dans la vie politique, il devrait de l’autre côté, solliciter une mise en disponibilité du côté magistrature. Donc, il évoluait pendant cette période comme magistrat en détachement, un peu comme technicien dans le cabinet politique.
C’est jusqu’après les élections de 2006 qu’il a jugé bon de quitter la magistrature pour intégrer le Barreau, en vue de prêter serment comme avocat. Et c’est en 2008 qu’il a prêté serment comme avocat. Et par conséquent, il a donc renoncé à la magistrature définitive. Dès lors, il évolue comme avocat près la Cour d’appel de Matete.
Si donc, le président de l’Assemblée nationale avait été révoqué de la magistrature, comme subornent ces mauvaises langues, il ne pouvait jamais être admis au Barreau près la cour d’appel de Kinshasa-Matete. Ceux qui veulent en savoir un peu plus, peuvent donc aller vérifier le dossier d’Aubin Minaku, à la Cour d’appel de Kinshasa Matete.
Puisque, toute personne révoquée de la magistrature, est frappée d’indignité. Elle ne peut donc jamais travailler dans des entreprises publiques de l’état. Elle ne peut jamais être admise au barreau ou prêter serment (du fait de la continuité des services juridiques) et elle ne peut jamais être autorisée à créer un cabinet d’avocat.
Pourtant, Me Aubin Minaku a un cabinet d’avocats (s’il y a peut-être des gens qui ne le savaient pas) dont le siège se trouve à Kinshasa, dans l’immeuble Future Tower situé au croisement de l’avenue Batetela et le boulevard du 30 juin dans la commune de la Gombe. Lequel cabinet est composé d’un bon nombre d’avocats également.
Que dire donc de plus, sinon, ces quelques faits présentés clairement prouvent déjà à suffisance que le speaker de la Chambre basse du Parlement de la République démocratique du Congo, Aubin Minaku, n’a jamais été frappé par la décision de révocation de 350 magistrats sous le règne de Feu Président M’Zee Laurent-Désiré Kabila, ou par une quelconque autre décision de révocation de la magistrature.
Tous ceux qui continuent de douter, n’ont qu’à consulter le Décret n°114 du 06 novembre 1998 portant révocation des magistrats. Donc, le premier des députés nationaux avait démissionné de la magistrature de lui-même pour le Barreau et ainsi embrassé librement la politique.
Alors, que se taisent à jamais ceux qui travaillent diaboliquement à faire de la mauvaise campagne contre l’honorable président de l’Assemblée nationale. Car, ils n’ont aucun argument qui tient débout, et ils n’en auront jamais, surtout sur le plan professionnel ou intellectuel d’Aubin Minaku, pour s’attaquer à ce grand homme doué de la République. A moins qu’ils ne soient tout simplement maudits, envoutés ou ensorcelés.
Assez donc avec ces démarches politiques sataniques et diaboliques !
LB/ La Rédaction