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Fofo Nkozi à Félix Tshisekedi: « Parler d’une transition sans Kabila, relève de la folie » 

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Invité de l’émission » Bokutani », Fofo Konzi, l’un des Kabilistes de la première heure qui  ont participé à l’élaboration de la charte du  PPRD,  partage une vision  authentiquement dialectique avec les réactions  » épidermiques » de l’opposition dite radicale. Il s’agit notamment de la Transition sans Kabila et la  position du Rassop au calendrier électoral publié par la CENI.

Le cadre du PPRD, Fofo Nkozi, estime que  le Président Kabila, détienne d’une légitimité rationnelle. Cette dernière est une  légitimité où l’autorité est investie par les règles des droits établies par tous et cette légitimité ne se traduit que par les élections. Alors, il se demande  par quelle alchimie l’opposition projette une transition sans Kabila ?

« ceux qui se font chantres de la » transition sans Kabila », savent pertinemment que la constitution maintienne le président Kabila jusqu’à l’installation effective du nouveau président élu. Car,  parler d’une transition sans Kabila, relève de la folie », commente Fofo Nkozi.

Pour barrer la route à ceux dont en 2006, ont rejeté la constitution  et aujourd’hui,  ils se prétendent la défendre plus que le président Kabila qui l’a promulguée le 18 février 2006, cependant,  Fofo Nkozi invite l’ensemble de la population à se lever pour s’opposer à ceux qui veulent diaboliquement  piétiner la loi fondamentale du pays.

 » L’exagération, le galvaudage et la victimisation sont courants ces temps-ci dans la sphère politique congolaise. Ils savent qu’ils ne peuvent pas faire une transition sans Kabila, mais ils s’emploient à mettre en oeuvre des actes de violence pour chasser Kabila qui jouit mieux de la considération majoritaire  de la population vivant en RDC. Quand ils voudront déstabiliser les institutions légitimes  de force, l’article 64 de la constitution,  saura ce qu’il va faire pour les en empêcher.’’, prévient Fofo Nkozi.

Quant au Calendrier électoral publié par la CENI, Fofo Nkozi regrette amèrement des horreurs et des bassesses de la part des opposants qui rejettent le calendrier de Nangaa, sans l’idée  d’apporter une proposition constructive.

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