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Religion/Décès de Blanche Tunasi : «La roue de la vie» une grande leçon à retenir (chronique de Delphin Tambwe)

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La mort, voilà une notion terrible à accepter… et pourtant la mort fait partie de la vie, elle n’est que la fin, et l’accepter permet de ne pas perdre de temps et de vivre pleinement sa vie, non ? Il ne sert à rien de se demander s’il y a une vie après la mort, c’est le secret le mieux gardé, puisque personne n’est revenu pour nous en parler…
Alors tentons de mordre la vie à pleine dents, car comme le dit Jean de la Bruyère : Il faut rire avant d’être heureux, de peur de mourir sans avoir ri. Mais un autre étonnement c’est que même en riant on peut mourir, en pleurant aussi, dans tous les sens on meurt…quand ou comment ? Ça dépend !

Le décès inattendu de madame «blanche Tunasi» l’épouse du Pasteur Marcello Tunasi irrite le monde entier et très particulièrement l’église mère de Dieu. Touché par ce coup de tonnerre, il y a intérêt d’en parler.

En parler pas pleurer, mais pleurer en parlant de celle qui aura accompli sa mission sur terre ou celle qui va avant l’heure ? Chacun verra ce décès à sa manière !

Pour nous, c’est la roue de la vie qui se remplit, la leçon de vie pour tous. Blanche Tunasi vivait la vie qu’on pouvait tous rêver, calme, épouse d’un grand homme de Dieu, servante du Seigneur socialement et spirituellement stable. D’où pouvait venir la crise cardiaque?? (la raison de sa mort selon les dernières nouvelles), une crise réelle ou un appel de l’éternel ? Rien ne pourra effacer la réalité qui angoisse toute la communauté chrétienne : la mort!

Une leçon à tirer c’est le caractère impartial de la mort, son impolitesse à outrance capable de renverser même une famille en pleine constance … On ne peut comprendre le mystère de la mort mais on peut gérer ses pas de la vie avant de subir le même sort.

A quiconque tombera sur cette plume, que Dieu vous bénisse et qu’il vous aide à comprendre que le monde est vain et que la meilleure façon de laisser des traces sur cette terre c’est l’amour du prochain, aimons-nous vivant c’est le seul héritage à laisser avant de partir à l’au-delà. La ribambelle des témoignages et des messages de compassion après la disparition de la Femme du pasteur Tunasi prouve à quel point elle était aimée et aimable. Et toi? Quand tu partiras? Qu’est ce que ta communauté dira? Qui pleura?

L’amour est donc le plus précieux de tous les dons qui nous viennent de Dieu (1 Corinthiens 12:31; 1 Corinthiens 13; 1 Corinthiens 14:1), pratiquons le avant que ce monde nous dise adieu, je crois que c’est la meilleure façon d’ouvrir le chemin vers le royaume de cieux.

✍️ Journaliste Delphin

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