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RDC : l’ICCN désigne le cinéaste Balufu Bakupa-Kanyinda pour la réalisation d’un film sur la conservation de la nature

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Le Directeur général ad intérim de l’Institut congolais pour la conservation de la nature ICCN, Oliviers Mushiete a présenté, ce vendredi 19 novembre 2021, son bilan de 100 jours à la tête de cette institution. Profitant de cette cérémonie, il a fait savoir à l’intention des participants l’ambition légitime de l’ICCN celle de la réalisation d’un filme sur les parcs nationaux.

La salle de spectacle Showbuzz a servi de cadre pour l’organisation de cette cérémonie au cours de laquelle, le D.G a.i de l’ICCN, Olivier Mushiete a présenté son bilan de 100 jours. Devant les diplomates, les autorités tant civiles que les militaires, mais aussi des invités de marque, Olivier Mushiete a livré les quatre grands projets que comptent réalisés l’ICCN l’année prochaine. Notamment, la réalisation d’un filme sur long métrage.

 » Je veux qu’on réalise un film long métrage sur la conservation de la nature au Congo avec le focus très particulier sur l’implication des hommes de cette conservation, évidemment, la population interne, les agents de l’ICCN mais aussi toutes les communautés et les peuples autochtones. Nous avons commencé à travailler avec Balufu Bakupa-Kanyinda. Et nous engageons à un processus pour la réalisation de ce film dès le début de l’année prochaine qui dans le meilleur écart sera prêt à être visionné soit à la fin de l’année 2022 soit à début 2023. », a dit Olivier Mushiete.

Par ailleurs, il a fait un état de lieu de la situation trouvée. Sur ce, il a dressé un tableau sombre, tout en illustrant par après ses réalisations phares.

Au cours de la même cérémonie, Olivier Mushiete a décrypté le nouveau logo de l’ICCN. Ce logo comporte quatre insignes. Le premier c’est le drapeau de la RDC. Par ic il s’agit du caractère intègre et inviolable du territoire national de la RDC. Le deuxième insigne représente l’humanité, ici l’intention est de mettre l’homme au centre du dispositif de l’ICCN.

Le troisième insigne c’est la responsabilité. Cette dernière représente l’engagement de l’ICCN à gérer son patrimoine en bon père de famille et monter en puissance dans ses capacités d’autofinancement. Le dernier insigne c’est la biodiversité, c’est-à-dire l’État crée les conditions propices à favoriser et à encourager les activités de recherche qui contribuent à la conservation de la biodiversité à la gestion durable des ressources biologiques.

Béni Kinkela

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