Devant la barre, mardi 09 janvier, l’ancien coordonnateur du service antifraude au Sud-Kivu, Abbas Kayonga, accusé notamment de rébellion, de détention illégale d’armes et de dissipation d’armes de guerre, a rejeté en bloc les accusations portées contre lui et ses neuf complices.
Selon lui, il s’agissait d’une incompréhension qui a poussé l’actuel gouverneur de province à le déchoir de ses fonctions de responsable du service de lutte contre la fraude minière au Sud-Kivu.
Pour lui son bilan a été positif, car son service a contribué avec plus de 23 millions de dollars et beaucoup de tonnes des minerais au trésor public.
Pour rappel, Le procès en flagrance contre Abbas Kayonga a commencé depuis lundi 6 novembre 2017 au tribunal militaire Garnison de Bukavu (Sud-Kivu).
La rédaction.