À regarder de loin, on ne voit rien d’exceptionnel dans les noms cités ci-haut. Mais, en entrant en profondeur, on découvre les deux figures de proue au service de la nation, aux côtés du président de la République, Félix-Antoine Tshisekedi.
Christian Manku Matata est un jeune qui vient d’entrer en politique par la grande porte, qui lui ouvre pas mal d’opportunités. En effet, comme partout ailleurs, on commence une carrière par un poste, parfois sans envergure, mais au fil des temps on devient forgeron en forgeant et en acquérant une expérience, fruit du temps qui forge aussi la compétence. On enrichit ainsi sa carte de visite.
Christian Manku Matata, rappelons que c’est un jeune ambitieux. Il a été candidat député au fief de Tshangu où il a glané pas mal d’électeurs qui lui ont fait confiance, par la qualité de ses actions à travers cette circonscription électorale. Il a toujours placé l’homme au centre de ses actions, surtout pour les jeunes comme lui. Il a déjà organisé des tournois de football et d’autres disciplines sportives pour ses congénères, les jeunes. C’est d’ailleurs pour cela qu’il a pignon sur rue pour les jeunes. Actuellement, à cause de l’imbroglio qui s’est passé à Tshangu après l’élection législative, son recours est devant la Cour constitutionnelle qui tarde à trancher son affaire. Il n’est pas seulement un mécène attitré, mais aussi un homme au grand
cœur ou encore généreux pour ses semblables qui se retrouvent dans une catastrophe naturelle. En effet, lors de différentes catastrophes qui sont survenues dans cette entité territoriale décentralisée, il était venu au chevet de sinistrés (victimes d’érosion, d’innondations, etc.)
Quoique la Cour constitutionnelle traîne un peu à cause de l’abondance des dossiers, son comportement et caractère altruiste lui a permis d’être coopté par Yannick Lutadila, ambassadeur itinérant du Chef de l’État et représentant personnel de celui-ci. Christian Manku Matata est conseiller politique de l’ambassadeur itinérant. C’est une ouverture propice pour le préparer à réaliser de grandes choses au vu de ses ambitions politiques latentes. Et comme on dit, il faut toujours commencer par les choses à la portée de la main, le reste suivront, car un tient vaut plus que deux ou trois tu auras, décrète le proverbe.
DAVID MUTEBA KADIMA