Ce dimanche, une scène d’une violence inouïe s’est produite à la Basilique Sainte Marie, située dans la commune de Kenya. Le ministre honoraire de l’Intérieur et Sécurité, également responsable de la jeunesse de l’UNAFEC en province, a été violemment pris pour cible par un groupe d’individus non identifiés alors qu’il assistait à la messe dominicale.
Accompagné de plusieurs cadres de l’UNAFEC, le ministre honoraire s’était rendu à l’église dans le cadre de ses activités habituelles de prière, un rendez-vous spirituel qu’il ne manque jamais. Mais ce matin-là, les assaillants n’ont manifesté ni crainte de Dieu ni respect pour ce lieu de culte, transformant ce moment de dévotion en un véritable cauchemar.
Les fidèles, stupéfaits, ont assisté impuissants à cette agression barbare qui a éclaté dans l’enceinte même de la maison du Seigneur. Selon les premiers témoignages, les agresseurs ont brutalement interrompu la cérémonie, provoquant une panique générale parmi les paroissiens. Le ministre honoraire et les cadres de l’UNAFEC ont rapidement été évacués sous protection, mais non sans blessures et frayeurs.
Cet acte ignoble soulève de sérieuses questions sur la sécurité des responsables politiques et religieux dans un contexte où les tensions ne cessent de s’intensifier. Comment se fait-il que des individus aient pu mener une telle attaque en plein jour, dans un lieu censé être inviolable ? Que faisaient les forces de l’ordre pendant que cette scène se déroulait ? Ces questions, parmi tant d’autres, devront trouver des réponses rapidement.
En attendant, l’inquiétude grandit au sein de la population de la commune de Kenya, et plus largement dans le pays. Il est impensable que la maison de Dieu devienne le théâtre de violences politiques. Les autorités sont appelées à réagir fermement pour empêcher que de tels incidents ne se reproduisent et pour assurer que justice soit faite.
Le respect du Seigneur et des lieux de culte doit être une priorité, au-delà de toutes les querelles politiques. Ce triste événement rappelle que la violence n’épargne plus aucun espace, même les plus sacrés, et qu’une réflexion profonde est nécessaire pour restaurer la paix et la sécurité dans notre société.