Un scandale de corruption a éclaté lors des élections du 29 avril 2024 en République démocratique du Congo, mettant en cause des pratiques douteuses au sein de l’Assemblée provinciale de Kinshasa. Malgré les instructions du Procureur Général Près la Cour de Cassation interdisant l’usage de téléphones dans l’isoloir, les Députés provinciaux ont violé cette consigne de manière unanime.
Il a été révélé que des cas de corruption ont eu lieu, avec la distribution de véhicules aux Députés provinciaux avant le vote. Le Secrétaire Général de l’UDPS, Monsieur KABUYA Augustin, a admis publiquement que ces distributions avaient eu lieu, suscitant l’indignation de l’opinion publique et des organisations de la société civile.
L’organisation non Gouvernementale « ACAJ » a vivement critiqué les propos du Secrétaire Général de l’UDPS et a appelé la justice à ne pas tolérer de telles pratiques politiques infâmes. Suite à ces révélations, un requérant a contesté les résultats du scrutin du 29 avril, accusant le candidat proclamé provisoirement élu de fraudes, intimidations et de corruption.
Des enquêtes ont été menées pour identifier les Députés provinciaux ayant utilisé leurs téléphones lors du vote, révélant des captures d’écran compromettantes. Ce scandale de corruption met en lumière les enjeux de transparence et d’éthique dans le pr