Isabelle Kibassa, soeur du ministre Augustin Kibassa est au coeur de l’actualité depuis sa descente à l’Université Officielle de Mbujimayi, qui s’inscrivait dans le cadre des activités de sa « Fondation Kibassa Espoir».
Après cette visite des travaux de réhabilitation de cet établissement public, Isabelle Kibassa Maliba Tshisekedi en est sortie déçue de la lenteur des travaux constatée sur ce site universitaire.
Sur place, la présidente de l’ASBL « Fondation Kibassa Espoir » a dénoncé à cor et à cri cette escroquerie. En effet, c’est elle et par elle que tout le monde est arrivé à se rendre compte du prétendu détournement de 42 millions de dollars américains financés pour la construction et la réhabilitation des bâtiments de l’UOM.
Dès cet instant, des mensonges et intox se sont vite répandus comme de petits pains dans le seul but de salir l’image « clean » d’Isabelle Kibassa dont les valeurs morales et le progrès réalisé dans bien des projets mettent mal en point ses détracteurs, qui faute d’arguments, préfèrent recourir à la méthode de propagation de faux bruits comme si il n’aurait fallu pour elle que de toucher du bout des doigts cette arnaque en la mettant en lumière comme elle sait bien le faire depuis de nombreuses années.
« Les incongruités monstrueuses » !
Comment est-ce possible qu’Isabelle Kibassa soit l’auteure de ce présumé détournement alors que c’est elle qui dévoile l’évolution des travaux dont personne n’a jamais parlé avant sa descente révélatrice et édifiante. C’est la première erreur !
Deuxième élément du mensonge distillé consiste à faire croire à l’opinion publique que Madame Isabelle Kibassa serait la superviseure attitrée desdits travaux. Toute une campagne médiatique contre cette native du Grand Katanga pleine d’amour pour son pays.
Isabelle Kibassa ne vogue pas dans les profondeurs de l’abîme. Depuis le temps (2008) où elle a commencé à percer, Isabelle Kibassa apporte de la lumière et de la vie dans tout ce qu’elle entreprend et rien ne lui a guère résisté. Tout se soumet naturellement comme si elle incarnait un pouvoir surnaturel, d’où le nom de « la reine du ciel ».
C’est dans cette optique qu’elle se présente comme ticket valable dans le gouvernorat de Lualaba qui nage dans une gestion avide occultant le bilan du Chef de l’Etat en placd, alors qu’on sait tous les enjeux liés à la conquête électorale de la province du Lualaba.
Isabelle Kibassa Maliba serait loin d’être découragée de cette cabale montée contre sa personne. Au contraire, elle reste plus engagée qu’avant dans ce qui la définit mieux, c’est-à-dire : l’agriculture, le social, le développement durable, politique et économie.
La rédaction
