Nous sommes en République démocratique du Congo précisement dans la province du Sud-Kivu, territoire d’Uvira chefferie de Bafuliru-Lemera.
Des enfants orphelins estimés à près de 150 selon leurs encadreurs et dont pour la plupart, les parents ont été tués par les rebelles, d’autres emportés par l’explosion des mines, vivent dans des conditions les plus précaires et on besoin du soutien de l’État.
Encadrés dans une ONG « Centre de développement pour les enfants orphelins (CDEO) » ces enfants peinent de retrouver le sourire à cause des conditions de vie pénibles en face des encadreurs consciencieux, engagés mais très pauvres.
Pour éduquer ces enfants orphelins, l’ONG CDEO a mis en place un mécanisme autonome des constructions des cases comme écoles et centres d’éducation pour enfants.
Mais la réalité est telle que, ces enfants manquent de fournitures scolaires, les pauvres encadreurs en quête des matériels, une vie très pénible difficile de supporter.
A notre rédaction se confie un des encadreurs
RDC : La très triste réalité😭 des enfants dont les parents ont été tués par les Rebelles au Sud-Kivu(enquête)
Nous sommes en République démocratique du Congo précisement dans la province du Sud-Kivu, territoire d’Uvira chefferie de Bafuliru-Lemera.
Des enfants orphelins estimés à près de 150 selon leurs encadreurs et dont pour la plupart, les parents ont été tués par les rebelles, d’autres emportés par l’explosion des mines, vivent dans des conditions les plus précaires et on besoin du soutien de l’État.
Encadrés dans une ONG « Centre de développement pour les enfants orphelins (CDEO) » ces enfants peinent de retrouver le sourire à cause des conditions de vie pénibles en face des encadreurs consciencieux, engagés mais très pauvres.
Pour éduquer ces enfants orphelins, l’ONG CDEO a mis en place un mécanisme autonome des constructions des cases comme écoles et centres d’éducation pour enfants.
Mais la réalité est telle que, ces enfants manquent de fournitures scolaires, les pauvres encadreurs en quête des matériels, une vie très pénible difficile de supporter.
A notre rédaction se confie un des encadreurs
« Papa nous membres effectifs du groupe pour les vulnérables oprhelins nous passons aux gens de bonne volonté enfin de demander une aide à la construction de quatre salles de classes pour que les VULNÉRABLES ayez un bon bâtiment pour acquérir les connaissances formelles maintenant nous sommes au niveau de couvrir le bâtiment c’est pourquoi nous passons a vous car les boulots le travail la santé et tout ceux que nous sommes amanent du HAUT TOUT PUISSANT. » ✍️Pour l’orphelinat le promoteur Byamungu shonda migani comité gestionnaire Abeli Ruturaga président
Une vie comme au 14e siècle dans un pays au potentiel inédit , les autorités de l’Etat invitées à s’approprier de cette situation.
Delphin TAMBWE