On se pose des questions sur l’état actuel de Jimmy Kitenge Manganda secrétaire national du PPRD en charge de la communication et médias détenu près d’une semaine aux cachots de l’agence nationale de renseignement (ANR).
De la panique, des agitations doublées de la rage au sein de la famille biologique et politique de ce vaillant communicateur opposant du régime, au point qu’il se propage depuis un temps que l’homme serait mort à l’ANR.
Quelle est la vérité ? Jimmy est-il mort ou est encore vivant? Notre rédaction dans ses investigations donne ici la vérité et la solution possible pour la libération de cet homme politique ligoté illégalement pour une destination inconnue alors qu’il voulait participer à une émission à la chaîne CCTV/Ralik.
En ce moment précis le PPRD et la famille biologique de Jimmy Kitenge ne devrait pas dormir, il y’a bien des choses qu’il faut faire pour imposer la libération de Jimmy.
La vérité est que Jimmy Kitenge Manganda n’est pas encore mort, selon nos dernières nouvelles l’homme est pris en ôtage pour subir la réciproque du pouvoir en place rancunier face au régime passé aujourd’hui à l’opposition.
Poussé à la vengeance par les détracteurs de Kabila dont Bemba Jean-Pierre et les traîtres transhumants, Félix Tshisekedi veut passer à la vitesse supérieure dans la traque des Kabilistes encore engagés, et le seul schéma à user c’est les intimidations, les arrestations arbitraires voir les provocations occultes vectrices même de perte en vies humaines dont le premier à risquer c’est Jimmy Kitenge déjà entre les mains des oppresseurs.
Il est difficile de tuer monsieur Kitenge à l’ANR mais de la libération de l’ANR à la mort c’est possible, on peut lui injecter des toxines pour qu’une fois libre qu’il subisse le tourment qui peut le conduire au sheol.
Que faire ?
Les bruits de réseaux sociaux, les discussions dans les coulisses ne vont pas libérer Jimmy Kitenge, ses compagnons de lutte et la famille tant biologique que politique sont obligés de multiplier des sit-in devant les cachots de l’ANR, au mieux le faire tous les jours jusqu’à la sortie de la victime. Multiplier les mouvements, les cris et bruits devant l’ANR fera appel à l’attention du monde entier sous l’œil des médias tant nationaux qu’internationaux ainsi les bourreaux pourront céder à n’importe quel plan machiavélique. C’est la panacée à la libération de Jimmy Kitenge.
Tout reste à voir là où va le climat politique congolais qui distingue dans la haine, le mystère d’un Pays clamé souverain.
La rédaction