L’artiste musicien congolais évoluant aux États-Unis d’Amérique, Mahombi a salué la création de l’ADACO. Cette nouvelle société des droits d’auteur et droits voisins a pour but de défendre fièrement avec professionnalisme, dévouement et intégrité tous les droits des artistes et créateurs Congolais.
Dorénavant les créateurs des oeuvres de l’esprit peuvent se réjouir en République démocratique du congo. Cela s’explique par la création d’une nouvelle société des droits d’auteur dénommée ADACO.
Par la création de l’ADACO, le gouvernement congolais, notamment son ministère de la culture et des arts, vient de mettre fin à l’insécurité juridique et économique dont les auteurs des oeuvres étaient à l’abri. Car, ces victimes ont longtemps dénigré les pirateries de leurs œuvres artistiques tant littéraires.
Cette société des droits d’auteur et droits voisins dénommée « ADACO » poursuit une seule mission principale. Sa raison d’être est pour défendre fièrement avec professionnalisme, dévouement et intégrité tous les droits des artistes et créateurs Congolais.
Il s’avère impérieux de souligner que l’ADACO va également va mettre en terre centaines organisations poursuivant le même objectif que celui-ci. En se référant du texte justifiant le pourquoi de sa création, l’ADACO va combler des lacunes. Et va apporter des solutions idoines aux problèmes faisant l’objet des inquiétudes des créateurs Congolais.
Plusieurs artistes congolais, entre autres musiciens, écrivains, peintres et bien d’autres, ont réagi sur la création de cette société des droits d’auteur. Dans l’ensemble l’avènement de l’ADACO laisse admiratif les artistes. C’est notamment le cas de l’artiste musicien congolais évoluant aux États-Unis d’Amérique, Mohombi.
La Star, dans une publication sur sa page facebook a salué la création de l’ADACO.
« Je suis extrêmement fièr d’annoncer que ce jeudi 9 janvier 2020, a été créée en #RDC , une société des droits d’auteur et droits voisins dénommée « ADACO » Dans le Respect, la transparence et la bonne gérance nous allons protéger La propriété intellectuelle et veiller aux intérêts des créateurs Congolais », a publié Mohombi.