Depuis son indépendance, la RDC a connu à tour de rôle un
bon nombre de scénarios de ses acteurs politiques. Tous azimut, une classe politique décontenancée de l’objectivité
dont l’idée maîtresse pourrait être comprise comme une quête d’amener le peuple congolais dans un avenir meilleur; Mais , c’est la primauté de la subjectivité qui ne cesse de grandir dans ce milieu. Pouvions nous étroitement remettre en cause celui qui aurait dit : » on ne vente pas la roue , car la roue a été déjà inventée « ? Soit encore à l’adage sportif célèbre qui dit : « On ne change pas l’équipe qui gagne » ?
Description
Cette classe politique contient une pluralité d’obédiences,
des aborigènes et ressortissants de toutes les provinces, nombreux d’entre eux se disent professeurs des universités, d’autres encore bardés de curriculum vitae et manipulant parfaitement la langue française croyant que la population mangerait leurs éloges. D’autres préfèrent s’y trouvés longtemps dans l’ombre des médias pour raison » nous qui s’y trouvons dans la boite, nous ne donnons pas nôtre langue
au chat » comme si dans leur labyrinthe, ont déjà préparé une chose de consistance à l’égard de la population plutôt que leur ventre respectif !
Au parti politiques, loin de conviction politique et des valeurs morales, ici c’est l’idéologie WENGEMUSICA qui fait
rage, on quitte tel parti pour un autre, telle plate forme politique pour une autre soit se positionner à la rébellion parce que son pseudo n’a pas fait l’objet d’une stipulation sur la table de la mangeoire, alors dans cet état de frustration, il faudrait faire couler une bonne quantité de sang de ses frères pour que vous aussi ayez le plein droit d’être escorté sur boulevard du 30 juin, Lumumba ou autres, avec une alerte de sirène très dérangeante aux oreilles des passagers ou piétons pauvres contribuables congolais ,au point même que cela face l’objet de détruire le » tempo »
Des présidents de partis politiques partagent des liens étroits avec l’esprit de la coercition et celle de la pensée unique, à laquelle aucun de ses membres partagera une relation authentiquement dialectique. Malheure à celui d’entre les membres, franchira la ligne rouge !!
Pour le poids politique, en RDC, tout le monde se prétend porté-parole du peuple, tout le monde devient ambassadeur de son village natal à Kinshasa juste en constituant une
équipe pétrie de ses anciens camarades de classe extrêmement intelligents et d’autres qui étaient de cancrés à
l’école, dans le but se faire une santé financière aux prochains remaniements avenirs pour le respect de la
représentativité des provinces.
Tous ces facteurs nocturnes ne cessent de dévenir de plus en plus éléphantesque , qui par conséquence le peuple boit du « Noir » et a complétement perdu tout espoir à l’égard des
hommes politiques. Matin, Midi et soir, ces pauvres contribuables ont choisie les églises comme milieu par
excellence pour déposer à Dieu un bon nombre de leurs désidératas dont la majorité relève de la compétence des
acteurs politiques, notamment la création des emplois et la
matérialisation des tâches et fonctions régaliennes de l’état
que Dieu n’intervienne. Si les figures des hommes politiques n’ont pas changées mais les usages doivent changer pour alchimiser les indicateurs socioéconomiques rouges, la
paupérisation, la souffrance atroce, manque d’infrastructure, pénurie d’eau » potable » l’insécurité immense, manque d’infrastructures des logements ,
absence d’un plan général d’aménagement et autres faits
néfastes.
Béni Kinkela
Journaliste