Le hasard n’arrange que ceux qui se sont préparés ! Les habitants de nos quartiers et tous les Congolais en général, ne sont plus dupes de tous les candidats qui viennent battre leurs campagnes. Tous jurent sur la tombe de leurs grands-pères et grands-mères que s’ils sont élus, ils résolveront tous les problèmes sociaux des quartiers ou des communes, notamment : eau, électricité, éducation, soins de santé, etc.
Certains candidats députés, nationaux ou provinciaux soient-ils, on leur demande où étaient-ils pendant tout ce temps, surtout les candidats sortants. Pas de réponse satisfaisantes. Beaucoup sont rejetés, malgré les t-shirts qu’ils offrent frappés à leurs effigies. Donc, cela ne tient plus. Les électeurs deviennent de plus en plus exigeants et parfois demandent quelle garantie montre qu’ils viendront de temps en temps rendre compte de leurs prestations dans les assemblées délibérantes.
Encore une fois, pas de réponse ! Preuve qu’ils viennent en des « sauveurs ponctuels ». Dès qu’ils sont élus, ils disparaissent dans la nature. Mais, voilà que le candidat n° 508, Henri Mova Sakanyi, n’a pas voulu se présenter en faiseur de solutions circonstancielles pour le besoin de séduire et disparaître.
Avant même que le calendrier électoral ait été publié, une fondation, « KAWEN »qui agit dans le strict respect et sponsorise les initiatives salvatrices d’Henri Mova Sakanyi, celui-ci surnommé « Homme Ubuntu », car plaçant l’homme au centre de ses préoccupations. La fondation Kawen a un lien de contact à travers les différents quartiers, qui lui permettait d’entrer en contact avec la population. Qu’à cela ne tienne, Henri Mova Sakanyi agissait par anticipation. Et la population, sans se rendre compte, établissait un contact avec Mova Sakanyi et le trouvait sérieux, courtois, élégant et très humaniste.
De temps en temps, Henri Mova Sakanyi demandait à la population de sa circonscription électorale quelques problèmes d’intérêts communs qui la préoccupaient, et d’une manière subtile, il faisait le nécessaire pour lui donner solution. Et cette population a commencé à le connaître et dialoguer avec lui sans beaucoup de peine. La population le connaissait et lui connaissait aussi la population. Un mariage de raison était ainsi conclu. Érosions, inondations, courant et eau dans certains quartiers, et Henri Mova Sakanyi trouvait tant soit peu la solution. Bref, il s’est préparé depuis longtemps et quand il est venu demander leurs suffrages, la population n’a pas hésité. Elle a accueilli Henri Mova Sakanyi avec plaisir. Un bien fait n’a jamais été perdu.
C’est ainsi, il y a quelques jours, dans le quartier Buadi, Henri Mova Sakanyi a continué ses actions avec joie. La population de Buadi manquait d’eau depuis plusieurs années. « Homme Ubuntu », entendez Mova Sakanyi, leur a donné une solution durable : les bornes fontaines. Plus question d’aller chercher l’eau la nuit avec tous les risques de viol et de vol souvent enregistres. Bref, Buadi est maintenant à l’abri de tous ces risques pour une denrée indispensable : l’eau c’est la vie!
Avant cela, Henri Mova Sakanyi avait déjà construit un pont, baptisé à son nom par les bénéficiaires en guise de reconnaissance. Sans oublier l’installation d’un écran géant. En sus de cela, il a offert un groupe électrogène pour obvier au problème du courant électrique dans ces quartiers qui n’ont pas de courant pour suivre les informations, les sports et tant d’autres. Là c’est dans le quartier Malweka à y ajouter l’éclairage public. Cet éclairage fait fuir tous les malfaiteurs qui aiment l’obscurité pour opérer tranquillement.
Lukunga, fief électoral de Henri Mova Sakanyi, a par ailleurs, bénéficié de toilettes publiques à l’UPN, Delvaux, Barumbu afin que ses électeurs puissent vivre dans un confort. Comme tout le monde le sait, la commune de Barumbu, à cause d’une voirie déficiente, est l’objet d’une insalubrité déconcertante, Henri Mova Sakanyi y a fait quelque chose en assainissant l’environnement : curage de caniveaux et évacuation des immondices « montagneuses » afin d’éviter aussi les maladies des mains sales, véhiculées par beaucoup d’insectes. Mais, dans toutes ces actions, un chef-d’œuvre est réalisé au niveau de la Police du marché de l’UPN, au croisement des avenues Marine et Masikita.
De ce croisement jusqu’au niveau de l’école Kuntwala, la chaussée était dans un état impraticable : des trous de 30 à 50 cm empêchaient la circulation sur plus ou moins 100 mètres, mais le bulldozer et des camions bennes transportant caillasses et moellons ont bouché tous ces trous et la circulation va être très confortable pour les « Wewa » et tous les taxis de Bwadi et Don Bosco. Voilà une oeuvre indélébile, avec l’aide de la fondation Kawen, qui sera gravée dans la mémoire collective de la Lukunga. Pourquoi ne donnera-t-elle pas ses voix à leur bienfaiteur aux oeuvres à impact visible et durable ?
DAVID MUTEBA KADIMA