« …Dans des villes où la répression des marches des laïcs chrétiens a été la plus violente depuis janvier 2018, les douilles que l’on retrouve autour ou dans les églises sont des munitions de fabrication chinoise 7,62×39 mm pour kalachnikov… À mbandaka-où un manifestant, Eric Bikolo, a été tué le 25 février 2018 – les douilles portaient une numérotation bien connue au congo: 61/98 « 98 » pour l’année de fabrication est « 61 » donne une idée de l’usine de fabrication. En l’occurrence , il s’agit de China North Industries Corporation ( Noninco) » .
Je vous propose-là, un extrait de l’article de Sonia Rolley publié sur le site de RFI, le 1 mars 2018, sous ce titre tendancieux : » RDC: Qui fournit les armes de la répression? »
Maintes fois, remise à l’ordre par les autorités congolaises sur sa manière biaisée de présenter les informations sur la situation politique et sécuritaire en RDC, cette bonne dame, que je me refuse, d’appeler journaliste, par pudeur et par respect à ce noble métier, celui d’informer objectivement le public, s’est décidée de garder le cape, avec sa guerre médiatique, contre la RDC.
SONIA ROLLEY, « L’ENQUÊTRICEINTERNATIONALE » AVEC SES 8 FOSSES COMMUNES.
Aussi rocambolesque que cela puisse paraître, l’opinion congolaise et certains observateurs avertis, ont été surpris d’apprendre, que Sonia Rolley, connue comme l’envoyée spéciale permanente de RFI, qualité qui justifie son séjour en RDC, s’est soit subitement, transformée, en une enquêtrice internatiinale.
Alors que le Kasaï était en proie à une violence insoutenable, suite au phénomène « kamuina Nsapu », au mois de Mars 2017, Sonia Rolley, n’a pas trouvé mieux, que d’ajouter de l’huile au feu, avec une pseudo-enquête sur les fosses communes.
Et RFI avait décidé de l’accompagner sur cette voie, pour une raison bien évidente, en lui accordant de l’espace et de l’importance, comme le demontre ce papier : « Enquête RFI: Au moins 8 fosses communes découvertes … »
Dans l’entre-temps, les autorités congolaises, avaient pris la décision de ne pas renouveler son accréditation.
Malgré cela, Elle ne lâcha pas prise, mais bien au contraire. L’assassinat de deux experts de l’ONU au Kasai, sur la même crise, a été utilisé par l’intéressée, comme une arme supplementaire, pour » punir » les autorités congolaises.
DES REPORTAGES À DISTANCE POUR NE PAS LÂCHER » LE MORCEAU RDC ».
Au mois de juin 2017, des nouvelles allégations sont avancées quant au nombre des fosses communes. On parle désormais, de quanrante-deux fosses communes. Les autorités congolaises, l’armée et les services de sécurité sont une fois de plus, pointés du doigt. À cet effet, Comme tout agent de destabilisation voué à la cause , Sonia Rolley s’arrange pour produire un webdocumentaire qui est diffusé sur RFI, le 13 jun 2017, en complicité avec la « journaliste » multimédia, Mouaoued.
Elle se rend alors à Genève où le conseil des droits de l’homme devait prendre une résolution en rapport avec la situation au Kasai, et est en tête d’une campagne de lobbying, contre la RDC. Comme on peut bien se rendre compte, contre toute règle déontologique, bien que se trouvant à des milliers des Kilomètres de Kinshasa, l’ancienne envoyée spéciale permanente de RFI, a continué à signer des reportages et mener des enquêtes à distance, sur l’actualité RDCongolaise.
C’est ici que les spécialistes en la matière, se grattent la tête et ne comprennent pas pourquoi, RFI, qui se présente, comme étant la première radio mondiale, peut-t-elle cautionner un tel dérapage professionnel, en autorisant, Sonia Rolley de continuer à produire des papiers, sur l’actualité politique quotidienne en RDC, alors qu’elle dispose, des correspondants congolais, dont la compétence, l’expérience et la maîtrise des acteurs et du microcosme politique , ne sont plus à démontrer, à l’instar d’un Kamanda wa Kamanda?
La réponse est toute simple. Sonia Rolley, derrière sa casquette de journaliste, est en réalité, « agent de déstabilisation de la RDC », recrutée par la « galaxie Gerges Soros », au même titre que, Hugues Leclercq, Marie-France Cro etc. Très déterminée à poursuivre son sale job, Sonia Rolley , se servant des dossiers de l’assassinat des deux experts de l’ONU et celui des fosses communes, se retrouve au mois de decembre 2017, aux côtés de Didier Reynders, des Ong internationales de défense des Droits de l’homme internationales et congolaises financées par Georges Soros, et politiquement hostiles au régime de Kinshasa, pour mener une véritable campagne de sape à Genève , pour que la RDC, mon pays, ne soit admise au comité des droits de l’homme .
DE « L’ENQUÊTRICEINTERNATIONALE », À LA « SPÉCIALISTE EN BALISTIQUE », IL N’Y A QU’UN PAS.
Voilà que le jeudi 1 Mars 2018, les congolais découvrent comme par magie, une Sonia Rolley, dans sa nouvelle casquette, celle de » spécialiste en balistique ».
À partir de Paris ou n’importe quel coin du globe, mais sauf au congo, cette bonne dame, était en mesure, de ramasser des douilles, de les examiner, et entant que « experte », de donner les détails précis, sur l’année , le pays et l’usine de fabrication des munitions utilisées par la police congolaise, à Kinshasa et à Mbandaka, lors de la dernière marche , du cardinal Monsengwo, le 25 février 2018.
SONIA ROLLEY FERAIT MIEUX DE MENER AUSSI UNE ENQUÊTE SUR LES DOUILLES DE OUAGADOUGOU.
Le vendredi 2 mars 2018, Ouagadougou, capitale du Burkina Faso, est frappé par une double attaque terroriste dont l’Ambassade de France et l’État-major des armées burkinabè , étaient les principales cibles.
Au nom du grand amour, que Sonia Rolley, manifeste à l’endroit des congolais, jusqu’à devenir « enquêtrice internationale » et « spécialiste en balistique », la logique voudrait , qu’elle puisse éprouver, le même sentiment, vis-à-vis du peuple frère du Burkina, en menant une enquête similaire et dont je lui offre gracieusement, ce precieux titre: » Burkina: Qu fournit les armes des attaques terroristes? »
Guy MOMAT??
Analyste Politique.